ce samedi, elena avait eut la chance de pouvoir avoir son après-midi rien qu'à elle et elle comptait en profiter en allant surement en ville. après plusieurs sms avec gabrielle, elles se donnèrent rendez-vous à la plage. elena était vraiment très proche de gabrielle, en fait c'était comme la soeur qu'elle aurait toujours rêvé d'avoir. maintenant que le soleil faisait de nouveau son apparition, elles avaient de quoi s'amuser là-bas. une fois qu'elle eut mit toutes ses affaires dans son sac, elle sortit de chez elle en short et t-shirt simple avec son bikini en dessous. une fois arrivée à la plage, elle aperçut son amie qui descendait aussi sur le sable, elle venait d'arriver. « pile à l'heure ! » dit-elle en s'approchant de gabrielle, la prenant dans ses bras.

Le samedi, le jour de repos de la belle brune. Oui faut dire que après une semaine de travail, on espère qu'une chose c'est de retrouver ses amis et profiter un peu. Après avoir envoyer plusieurs textos à Elena, son amie la plus proche, elles étaient comme des sœurs. Étant enfant unique, Gabrielle avait trouver en la blondinette la sœur qu'elle n'a jamais eu. Elle se prépare alors pour enfiler son maillot de bain et une robe blanche pour se rendre à la plage. Elle prends sa voiture et se retrouve en un temps records là bas. Gabrielle sourit en remarquant qu'Elena était à son tour à l'heure. Elle s'approche et dit « comme toujours ! » dit-elle en la prenant dans ses bras.

vu que son frère avait décidé de rester habiter à sidney, elena était complètement seule, ne voulant pas revoir ses parents insupportables, si c'était encore pour recevoir des ordres sur sa façon d'agir .. gabrielle était comme la soeur qu'elle n'avait jamais eut, en plus de ça, elle travaillait aussi à h-way agency donc elles se voyaient souvent. ce qu'elle adorait chez elle, c'était le fait qu'elles ait de nombreux point communs. puis elles adoraient sortir ensembles que ce soit pour aller en boite, prendre un café, etc. aujourd'hui c'était la plage et comme toujours, elles étaient à l'heure. « tu vas bien ? » demanda-t-elle en se décollant d'elle.